Ayez pitié de chaque malade.
Pour que ça vient du cœur, de l'âme,
Même si c'est pas votre camarade,
Même si c'est votre ennemi infâme...
Donnez la main à l'estropié!
Comme une bonne mère à son enfant;
Soyez un homme! Ayez pitié!
Pour qu'il le voit, en souriant!
En rassurant le désespoir,
En pardonnant, et en aimant,
Montrez, les gens, un tel espoir,
Pour que le mort devienne vivant!
Et vous allez aimer le monde,
Qui est très sombre et attristant...
Aidez les impuissants sans honte,
En comprenant leurs sentiments...
Перевод Михаила Озеровского